Retour | Page 2 |
Laprès-midi, le groupe se disperse, quelques-uns, ayant assez marché, retournent se reposer à lhôtel. Je vais faire un tour au marché de la rue Dzerjinski. Il y a là un marché de plein air (vêtements, livres, disques, cassettes, gadgets, restauration ), un centre commercial et un marché couvert pour lalimentation. Ce dernier propose un vaste choix de beaux produits, mais à des prix qui semblent faire hésiter beaucoup de clients. Le lendemain, cest lavion pour Saint-Pétersbourg. Je photographie notre groupe au pied de lavion, avant quil monte lescalier. Nous avons une escale à Ekaterinbourg, où pour dobscures raisons administratives ou de sécurité, on nous fait tous descendre de lavion, sortir de laéroport puis rentrer pour un nouveau contrôle des passeports et des billets. Heureusement quil nen est pas de même pour nos bagages ! Une fois de plus, nous nous retrouvons au pied de lavion. |
|
Martine, membre de notre groupe, décide de prendre la même photo de départ que moi. Un passager russe, debout à côté delle, len empêche. Après quelques palabres, nous comprenons pourquoi : prendre une photo avant le départ est un mauvais présage. A larrivée à Saint-Pétersbourg, après sept heures de vol, jéprouve une curieuse sensation : jai presque limpression dêtre rentré à la maison ! Le lendemain, lever de bonne heure pour le vol pour Paris. Un vieux bus nous emmène à laéroport. A mi-chemin, cest la panne: le moteur perd toute son eau. Je réfléchis que si nous ratons notre avion, notre sort risque de devenir kafkaïen : pas dhôtel, un billet davion à prix réduit sans doute non transférable sur un autre vol, un visa qui expire le soir même Notre accompagnatrice de lagence de voyages fait chauffer son téléphone portable et un miracle se produit : un autre bus nous récupère vingt minutes plus tard. Nous serons à lheure à Poulkovo et à Roissy |
|